Opération « First » pour de jeunes collégiennes Imprimer
Écrit par Mélanie GARNIER-IMBERT (IFARE)   
Mercredi, 03 Mars 2021 14:28

Sur le mois de février, Cyrielle Menjard, chargée de missions sur le site de Saint-Alban s’est rendue à l’événement « First » afin de promouvoir les métiers techniques exercés au sein de l’industrie nucléaire, auprès de jeunes filles du collège de l’Isle de Vienne. Ce rassemblement avait pour objectif de promouvoir des carrières scientifiques et technologiques, auprès de collégiennes, afin de susciter de nouvelles orientations.

L’événement FIRST qui s’est déroulé dans près d’une centaine d’établissements scolaires sur tout le territoire français, a vécu sa première édition à Vienne, le jeudi 4 février dernier, grâce à la mobilisation de nombreux partenaires, dont EDF et l’association IFARE.

« Au vu des règles sanitaires imposées, cette opération a pu se dérouler, en présentiel, au collège de l’Isle, où plus de 70 collégiennes de quatrième s’étaient rassemblées.
Cette année, l’opération faisait plus particulièrement un focus sur les femmes ingénieures et leurs parcours professionnels. »
précise Cyrielle.

Pour la centrale de Saint Alban et l’IFARE, l’objectif de l’après-midi était de faire connaître les métiers techniques qui peuvent être exercés par des femmes, sur un site nucléaire, en présentant les parcours d’une technicienne ou d’une ingénieure et les qualifications demandées.

Parmi les intervenantes, d’autres partenaires s’étaient mobilisés afin d’organiser des présentations en petits groupes.
Au total, neuf intervenantes ingénieures ou cheffes d’entreprise ont ainsi apporter leurs témoignages concernant leurs cursus scientifiques ou technologiques et leurs expériences professionnelles.

« J’ai également effectué une présentation des métiers dits « en tension » comme robinetier, chaudronnier, soudeur, qui manquent de ressources et que nous trouvons dans l’industrie nucléaire.
Comme ces jeunes filles n’ont pas d’idées très précises concernant leur carrière, elles ont été très étonnées par le panel de métiers techniques et accessibles à des femmes chez EDF et ailleurs. Peut-être de nouvelles vocations sont nées à l’issue de cette opération car de nombreux échanges ont émergé et laissent penser que l’accès aux formations scientifiques et du supérieur ne leur parait pas impossible. »
conclut Cyrielle.